mardi 1 mai 2012

Réaction du chapitre 1 du livre de Ronald Wright


Pour être honnête, je n'ai pas de réaction définie suite à la lecture du chapitre 1 de « Brève histoire du progrès » sinon que quelques conceptes qui on retenu mon attention pour en faire une petite critique. Premièrement, Wright nous parle, à la page 26, du Paléolithique. Il dit en fait que « le changement culturel engendra le changement physique et vice versa, créant une boule de rétroaction. » Cela étant dit, le progrès se comparerait à une force de la physique, la gravité par exemple. Lorsque les scientifiques ont mis au point cette formule, ils ont remarqué, lors de leurs expérimentations, que la vitesse d'un objet en chute augmente au fur et à mesure. Le progrès se comparerait-il à la chute d'un objet provoqué par la gravité? Si oui, cela devrait nous rassurer de sorte que certes, la vitesse du progrès va augmenté de façon exponentielle, comme il le fait déjà et comme il est le cas pour un objet en chute, mais il va tomber et il va reste apathique à un moment donné.

Le deuxième passage de Wright qui a éveillé un sentiment de critique est celui de la page 28 lorsqu'il parle de Rosny qui compare le monopole du feu d'autrefois au monopole des nations modernes face aux armes nucléaires. C'est quasiment un passage optimiste de sorte qu'on peut moins s'inquiéter d'exploser avec les bombes, parce qu'auparavant les gens n'ont pas brûlés avec le feu : l'humain a su contrôle son assoiffement de pouvoir. Alors, peut-être n'allons pas tous périr sous le progrès côté armements. Mais comme toute bonne chose, il y a un aspect négatif qui se trouve à être, l'humain est assez intelligent pour avoir inventé la bombe atomique après avoir découvert le feu, de quoi d'autre en est-il capable? Où est-ce que le progrès va amener l'Homme?

Finalement, le dernier passage qui a suscité un retour dans mes anciens cours magistraux du secondaire, est lorsque Wright parle des Néanderthliens, et de la façon qu'ils prenaient soit de leurs malades et qu'ils étaient les premiers à enterrer leurs morts, suivants de rites religieux. On dit d'eux qu'ils étaient la risée des espèces humaines étudiées, par contre ils étaient les premiers où l'on a remarqué une forme de foi, de religion. Si je me rappelle bien, c'est à ce moment de l'histoire où on a commencé à appeler ces groupes de gens pratiquant des rites des civilisations. Alors, comme Wright le dit dans son livre, « Homo neanderthaliensis n'étaient peut-être pas une telle brute. » Cette dernière n'a aucun lien direct avec le progrès, mais le but de l'entrée est d'émettre nos réactions suite à la lecture du premier chapitre...

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