vendredi 18 mai 2012

Réflexion - 16 mai


Qu’est-ce que le progrès? Cette question est assurément plus difficile à répondre qu’au début…

Je crois encore que le progrès est un cycle et qu’il est une notion neutre. Le progrès prend une connotation négative lorsqu’il a des pièges associés et une connotation positive lorsqu’il y a place à l’innovation véritable. Le progrès se retrouve dans toutes les sphères de notre vie, comme les conférenciers ont pu le prouver.
Alors, voyons tout d’abord le progrès du point de vue de soi. Nous avons discuté en classe qu’il y a progrès en soi si l’être humain arrivait à développer ses capacités de planification et de réflexion à long terme. De plus, pour comprendre le progrès nous devons répondre à la question qui sommes-nous?

Maintenant, regardons au point de vue de la communauté. Celle-ci doit travailler en groupe pour parvenir au progrès. Lorsqu’on parle de communauté, il est d’affaire autant d’une communauté locale qu’internationale. La communauté doit aussi travailler dans le bus d’améliorer les conditions humaines que naturelles, parce qu’en fin de compte la planète va se restaurer.

Il vient à présent le temps de regarder le progrès selon les sociétés et les nations. Les régimes politiques, économiques et sociaux doivent changer pour laisser place à de meilleures conditions de vie. Le vrai progrès serait d’éliminer les écarts grandissant entre les riches et les pauvres, et même d’éliminer cette notion – mesure. Il devrait aussi avoir une véritable égalité entre les différentes sociétés et tout le monde devrait avoir les mêmes droits de la personne. Le vrai progrès serait un régime mondial, ou est-ce qu’il n’y a pas de frontières et de différences.

Voyons finalement le côté humanitaire de la chose. Je crois que les trois dernières facettes du progrès sont énormément interreliées. Du côté humanitaire, l’égalité doit se trouver une place comme mentionnée. De plus, les gens doivent arrêter de surconsommer pour répondre à leurs besoins. Finalement, la population mondiale doit faire la distinction entre le bonheur et les désirs, si elle ne la fait pas déjà.

Ce n’est pas vraiment une définition, mais comme écrit au début : définir le progrès à la fin du cours est plus difficile qu’au commencement.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire