lundi 7 mai 2012

Réation du chapitre 2 du livre de Ronald Wright


Comme plusieurs nous en avaient déjà parlé, ce que Wright présente dans son deuxième chapitre n'est pas totalement nouveau. Il parle des pièges du progrès, et présente l'agriculture comme étant le premier piège que la civilisation a connu. Wright parle aussi de la nature humaine et la culture humaine. Il fait également la distinction entre la civilisation et la culture qui peut se résumer ainsi : « Toutes les civilisations sont des cultures, ou des conglomérats de culture, mais toutes les cultures ne sont pas des civilisations. »

Cela étant dit, ce n'est pas un résumé qu'il faut faire, mais bien émettre une réaction. Ce dont Wright traite est un sujet délicat, et qui fait peur parce qu'il parle de l'avenir de l'espèce humaine. J'aime bien comment il parle de la civilisation comme étant une expérience, par contre il dit clairement qu'il n'y a pas de retour en arrière, alors la civilisation est un test dont on doit avoir les bonnes réponses, et ce, du premier coup.

Je crois que la vie est en quelque sorte en cycle. Je m'explique : Wright nous dit que les gens du Paléolithique chassaient. Ils avaient trouvé des façons plus efficaces pour subvenir à leurs besoins, et rendre la chasse plus bénéfique. Lorsque le gibier commençait à manquer, les gens ont découvert l'agriculture. Mais encore une fois, l'humain est en train d'exterminer la terre fertile comme il l'a fait avec les gros gibiers. La question à répondre est y-a-t-il un autre moyen qui va pouvoir subvenir à nos besoins?

En frais de réaction il me semble que j'en ai pas, mais au contraire. Le chapitre présente beaucoup de choses qu'il est difficile d'avoir une réaction explicable et descriptive.

Sur ce, je vous laisse avec une bande dessinée dont Wright parle à la page 53.



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