lundi 14 mai 2012

Réaction du chapitre 5 du livre de Ronald Wright


Les quatre premiers chapitres n’ont pasvraiment suscité de réactions, mais ce n’est catégoriquement pas le cas pour ledernier chapitre du livre de Wright. Le ton de ce chapitre est alarmiste :il FAUT fait quelque chose, et ce, MAINTENANT. Il m’a semblé que l’auteur avaitenvie de dire que nous n’en étions pas à la 59e minute, mais que letemps presse. Ronald Wright mentionne dans son cinquième chapitre que ce n’estpas les Européens les conquérants du Nouveau Monde, mais bien la variole ettoutes les maladies que ces explorateurs ont amenées avec eux. Je soulignecette idée parce qu’encore une fois, c’est la nature qui prend le dessus surl’humain. De plus, l’auteur dit à la page 177 que la situation actuelleest très semblable à celle à la veille de la Première Guerre mondiale. Cettedéclaration fait peur parce qu’elle laisse sous-entendre que nous sommes peut-êtreà la veille d’une guerre et, si cela était le cas, tout le monde s’entend pourdire que cette guerre sera dévastatrice et que personne n’en survivra. Comme si bien dit dans le livre, le prix à payer de l’histoire ne cesse d’augmenter.C’est vraiment terrifiant et c’est triste de voir que plusieurs personnespréfèrent s’enrichir les poches, plutôt que coopérer pour trouver une solutionà ce chaos prédictif.

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