Pour
ma part, le plus important était « Le progrès n'est pas une destination, mais un
mode de vie. Ça commence par soi, par notre communauté et se termine par
l'humanité. » Cette affirmation était celle qui importait le plus parce que,
premièrement, je suis entièrement d'accord avec. Deuxièmement, je crois que le
progrès est un concept, un mouvement qui vêti notre temps et c'est peut être
pour cette raison que nous sommes un peu aveuglés par le progrès. Évidemment,
puisque le progrès a accéléré de façon exponentielle, son départ va être aussi
vite; ce qui explique le fait que les jeunes sont de plus en plus conscientisés
de ce qui se passe, des pièges et des problèmes résultants. Troisièmement,
j'avais déjà dit en classe, puis dans un billet, que la force de changer la
situation et de remédier au problème, ce n'est pas moi toute seule qui l'a, ce
n'est pas non plus le premier ministre du Canada et encore moins le président
des États-Unis d'Amérique : c'est chacune et chacun de nous qui possédons le
pouvoir de changer ce qu'on veut, et si nous mettons tout ce pouvoir ensemble,
c'est à ce moment qu'il va y avoir une réforme quelconque.
Tous
les énoncés étaient importants, mais celui qui m'apparait comme étant le moins
notable est « Il faut développer notre capacité de vision à long terme et
s'adapter. » Je reconnais son importance, je vous l'assure, mais plusieurs spécialistes nous ont clairement
dit que le cerveau n'a pas changé au courant des 50 000 dernières années et
celui-ci est conçu pour la planification à court terme. Alors, pourquoi
devrions-nous concentré nos efforts pour l'évoluer à planifier à long terme,
lorsque nous n'avons aucune idée du nombre d'années que cela prendra pour
s'effectuer. Je vous rappelle que nous n'avons pas 50 000 ans et plus à perdre
pour changer les capacités du cerveau. C'est donc pour cette raison que ce
dernier énoncé est le moins important pour moi.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire